L'Ordre national du Québec - Honneur au peuple du Québec - La plus haute distinction décernée par le gouvernement du Québec.

Jean-Luc Alimondo

Chevalier (2014)

Tout au long de sa carrière, Jean-Luc Alimondo s’est employé à multiplier les passerelles entre les milieux d’affaires français et québécois. Le parcours professionnel et extraprofessionnel de ce Français est presque entièrement dédié au service des entreprises du Québec.

M. Alimondo est né à Alger, en 1947. Après des études en droit, il fréquente l’Institut d’administration des entreprises de Bordeaux.

En 1970, il entre, à Paris, au service de la Banque Canadienne Nationale qui deviendra, en 1979, par suite d’une fusion, la Banque Nationale du Canada (BNC). En 1980, il est nommé directeur principal responsable des activités internationales de la filiale parisienne. En 1984, il devient représentant en chef de la BNC pour la zone EMA (Europe, Moyen-Orient et Afrique). En 1993, il est détaché au bureau de Londres. De retour à Paris en 1995, il est alors nommé vice-président de la section Europe, Moyen-Orient, Afrique. À ce poste, il prend l’initiative d’établir un certain nombre d’alliances stratégiques en Europe, notamment en France, avec la BRED Banque Populaire, et en Italie, avec UniCredit Group. Puis, d’autres accords sont signés en Espagne, en Belgique et en Allemagne. En 1999, il crée la succursale BNC au Liban.

En 2012, arrive l’heure de la retraite, mais la BNC lui offre d’être conseiller spécial aux affaires internationales pour deux ans.

Également homme de contacts et de liens, Jean-Luc Alimondo codirige, dès 1987, le Club des échanges économiques France-Québec, auquel il donnera un réel essor. En 2009, il fonde le Cercle des dirigeants d’entreprises franco-québécois (CDEFQ), regroupant les chefs d’entreprise des différents secteurs économiques des deux États concernés. Cinq ans plus tard, le CDEFQ continue, sous sa présidence, son expansion des deux côtés de l’Atlantique, en un carrefour privilégié de facilitation des affaires et des investissements. On y compte alors une soixantaine de membres, soit des dirigeants français au Québec, et québécois en France.

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