Au-delà de ses 80 ans, Phil Gold a poursuivi l’exercice de la médecine, soit à l’Hôpital général de Montréal, et son professorat à l’Université McGill. Comme chercheur, il s’est illustré brillamment, dès le milieu des années 1960, aux côtés de Samuel O. Freedman (avec surtout la découverte révolutionnaire de l’antigène carcino-embryonnaire et de son potentiel de biomarqueur du cancer) et il a posé les assises de la « biologie oncodéveloppementale ». Dans les années 1970, il a pris la barre du nouveau McGill Cancer Centre, pour quatre ans. De 1980 à 1995, il a dirigé le service médical et le service de consultations externes de l’Hôpital général de Montréal. Par la suite, au sein du Centre universitaire de santé McGill, il a été à la tête d’un grand centre de recherche clinique pendant pas moins de vingt ans.
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