Sous la plume de cette romancière et nouvelliste ont été publiés des contes, des nouvelles, des romans, ainsi que des essais ethnographiques, inspirés par la Beauce qu’elle affectionnait, cosignés par son mari, le juge Robert Cliche. En parallèle de cette carrière littéraire féconde, menée admirablement et qui couvre une trentaine d’années, l’écrivaine fut aussi animatrice de radio, commissaire à la Commission des biens culturels du Québec et présidente de la Fondation Robert-Cliche, un organisme voué à la conservation et à la mise en valeur du patrimoine beauceron.
Au cours de sa carrière, l’auteure a reçu plusieurs prix littéraires, dont ceux de la Ville de Montréal et des Éditions La Presse, de même que le prix France-Québec. En 1992, l’Ordre national du Québec accueillait Madeleine Ferron à titre chevalière.
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