Le 24 juin dernier, on annonçait que le ministre des Finances du Canada, Joe Oliver, avait désigné Heather Munroe-Blum comme présidente du conseil d’administration de l’Office d’investissement du RPC (Régime de pensions du Canada). Mme Munroe-Blum, dont le nom reste fortement attaché à l’Université McGill, entrera dans ses nouvelles fonctions le 27 octobre prochain.
L’Office est un organisme autonome par rapport au RPC. Il mène ses activités en toute indépendance des gouvernements fédéral et provinciaux. Ses choix de placement et d’investissement sont éclairés par un conseil d’administration, lui-même indépendant, et ce, au mieux des intérêts des cotisants, des cotisantes et des bénéficiaires du RPC.
À l’occasion de l’Année internationale de l’agriculture familiale, la conférence régionale des élus attitrée au territoire de la Montérégie Est a souhaité souligner l’apport d’acteurs du secteur agricole en provenance de neuf MRC. Parmi eux, Monique Lussier Bessette s’est vu décerner un coup de chapeau, au cours d’une soirée-hommage qui se tenait à Saint-Hyacinthe, le 19 septembre dernier.
Mme Bessette a longtemps exploité une ferme avec son mari, en tant qu’associée à part entière. Elle a été la première femme à présider la fameuse Expo de Saint-Hyacinthe et à accéder au Temple de la renommée de l’agriculture du Québec.
Le fier groupe de randonneurs et de randonneuses, à 3 790 m d’altitude, devant l’école Khumjung, située au cœur du Parc national Sagarmatha et fondée en 1961 par le célèbre alpiniste Sir Edmund Hillary.
En août dernier, Bernard Voyer partait en randonnée au royaume du trekking, dont la seule évocation de ses monts (Annapurna, Dhaulagiri, Kala Pattar, Khumbu, Manaslu, Mustang…) fait rêver les aventuriers et les aventurières.
Il menait sept Rangers juniors canadiens en route pour l’Everest (Sagarmatha en népalais). Ces adolescents et adolescentes provenaient du Nunavik, de la Baie-James et de la Basse-Côte-Nord.
Au-delà du défi et de la découverte de l’Himalaya, leur voyage accompagné avait pour but de les encourager à mieux s’investir dans leur collectivité respective, pour mieux s’en sortir. Au programme du voyage : échanges avec de jeunes Népalais et Népalaises, rencontre avec des biologistes, travail social et, bien sûr, randonnée en terrain montagneux.
Rappelons que M. Voyer est lieutenant-colonel honoraire du 2e Groupe de patrouille des Rangers canadiens (2GPRC), lequel est responsable de la région du Nord-du-Québec.
Les Rangers juniors canadiens sont des filles et des garçons âgés de 12 à 18 ans. Ces jeunes habitent dans des régions éloignées, où les Rangers canadiens « séniors » exercent leurs activités. Actifs dans leur milieu, ils suivent un programme qui vise à préserver leur culture et leurs traditions.
Le 30 août dernier, à Montréal, on inaugurait une murale extérieure dédiée à Léa Roback. La murale, en cours d’achèvement, se situe sur la rue Saint-Dominique, à la hauteur de l’avenue Mont-Royal.
Carlos Oliva est l'artiste de cette œuvre de style street art. Il bénéficie du soutien financier de l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal, dans le cadre du programme Muralité.
Née en 1903 et décédée en 2000, Léa Roback était très engagée socialement. Toute sa vie, elle a lutté pour les conditions de vie des femmes, le respect des sans-emploi, le droit de se loger dignement, l’accès à l’instruction, la justice sociale et la paix. Elle a aussi combattu le racisme, la discrimination et l’intolérance. On la connaît surtout pour son rôle majeur dans la grève des midinettes de 1937.
Aujourd’hui, sa mémoire est perpétuée par le travail de la Fondation Léa-Roback, du Centre Léa-Roback pour la recherche sur les inégalités sociales de santé de Montréal ainsi que de la Maison Parent-Roback du Vieux-Montréal. La présence des écriteaux de la rue Léa-Roback, qui se trouve à Montréal dans le quartier Saint-Henri, rappelle également son apport à la société.
À sa séance ordinaire du 20 août dernier, le Conseil des ministres a procédé à la nomination de deux personnes au conseil d’administration de l’Institut national de la recherche scientifique (INRS).
Il s’agit de Christiane Piché et de Michel Ringuet. Ce dernier a été recteur de l’UQAR (Université du Québec à Rimouski), qu’il a menée avec vision et stratégie pendant près de dix ans, soit de 2003 à 2012.
L'INRS est une université de 2e et 3e cycles et comprend quatre centres de recherche et de formation, situés respectivement à Montréal, à Laval, à Varennes et à Québec, où se trouve également son siège social ainsi que celui du réseau de l'Université du Québec. L'INRS est l'un des neuf établissements qui composent ce réseau.
De plus, à raison de dix fois l’an, l’INRS publie le webzine PlanèteINRS.ca, qui présente les avancées des recherches réalisées au sein de ses quatre centres. On peut également s’abonner à l’infolettre qui s’y rattache.
Le 6 août dernier, Monique Vézina apprenait qu’on l’avait choisie pour être marraine du navire de recherche halieutique de la Garde côtière canadienne, le NGCC Leim.
C’est le 26 août qu’a eu lieu le baptême du navire, au port de Rimouski. À cette occasion, comme le veut la tradition multiséculaire, Mme Vézina a lancé une bouteille de champagne sur la coque du navire.
En sa nouvelle qualité, l’ex-députée fédérale de Rimouski-Témiscouata sera appelée à remplir épisodiquement certaines fonctions à bord du NGCC Leim, pour des occasions spéciales.
Le NGCC Leim, dont la mise à l’eau remonte à 2012, est un navire semi-hauturier qui vient remplacer le NGCC Calanus II, celui-ci étant en fin de vie utile.
Pourvu d’un laboratoire, il peut accueillir quatre scientifiques, par l’entremise de l’Institut Maurice-Lamontagne.
Le personnel navigant se compose de cinq membres d’équipage. La vitesse de croisière du bâtiment est de 9 à 10 nœuds et sa vitesse maximale est de 12 nœuds.
Le 16 juillet dernier, le ministre fédéral des Finances, Joe Oliver, annonçait la composition de son conseil consultatif sur l’économie, dont les membres reçoivent un salaire symbolique de 1 $. Parmi ceux-ci, figure Monique Leroux, qui est toujours présidente et chef de la direction du Mouvement des caisses Desjardins ainsi que membre du Comité consultatif sur la fonction publique et du groupe canadien de la Commission trilatérale.
Soulignons que Mme Leroux est partenaire fondatrice du Sommet international des coopératives. Cette manifestation a été une réussite lors de sa première présentation en 2012, avec 2800 participants et participantes en provenance de 91 pays. À la suite du succès obtenu, un autre sommet aura lieu du 6 au 9 octobre 2014, à Québec.
On y abordera cinq grands thèmes d'intérêt mondial :
Le 14 septembre dernier, à Montréal, avait lieu la première présentation grand public du documentaire L’heureux naufrage, sous-titré L’ère du vide d’une société post-chrétienne.
Exaltant et touchant, ce film aborde des questions essentielles à travers le regard d’une trentaine de personnalités publiques québécoises et françaises, dont Denys Arcand, C.Q., Denise Bombardier, C.Q., Rose Dufour, C.Q., Jacques Grand’Maison, O.Q., Benoît Lacroix, G.O.Q., et Ginette Reno, C.Q.
S’y entrecroisent des visions et des pistes de réponses sur le vide spirituel de notre société postmoderne.
L’heureux naufrage est un documentaire de 46 minutes, du cinéaste québécois Guillaume Tremblay. Sa réalisation a été rendue possible grâce à une campagne de financement participatif, qui a permis d'amasser plus de 50 000 $.
Cet automne, le film sera télédiffusé à deux émissions de la chaîne ICI Radio-Canada : Les grands reportages et Second regard.
Pour de plus amples renseignements, visitez le site www.heureuxnaufrage.com.
Pour plus de contenu et d’information sur l’Ordre national du Québec, visitez notre site web : www.ordre-national.gouv.qc.ca.