En 2004, Louise Otis, alors juge à la Cour d’appel du Québec, a contribué à instaurer la facilitation pénale. En 2006-2007, elle a participé à la refonte de l’administration de la justice à l’ONU. En 2009, elle a lancé la Conférence internationale de la médiation pour la justice et en est devenue présidente. En 2012-2013, elle a procédé à l’examen du système de justice administrative du Fonds monétaire international. En 2014, elle a revu le système de justice de la Banque mondiale. En 2015, elle a été nommée présidente du tribunal administratif de l'Organisation de coopération et de développement économiques. En mai 2016, elle était toujours à la tête du tribunal d’appel de l’Organisation internationale de la Francophonie.
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