Architecte parmi les plus respectées de son époque, au Québec, Anik Shooner s’investit sans compromis dans la composition d’une architecture d’exception, en visant la réalisation de milieux qui favorisent la santé, le bien-être et la qualité de vie de celles et ceux qui les habitent. Convaincue que la qualité architecturale de l’environnement influe sur la vie des personnes qui fréquentent les lieux, Mme Shooner a toujours fait refléter, dans ses créations, son engagement envers le développement durable. Au sein de la firme Menkès Shooner Dagenais LeTourneux architectes, qu’elle a cofondée et qu’elle dirige depuis les débuts, elle a mené plusieurs chantiers institutionnels, universitaires, résidentiels et commerciaux d’envergure, qui ont dessiné le Montréal d’aujourd’hui : la Maison du développement durable, l’initiative Grandir en santé du CHU Sainte-Justine, la Maison Manuvie et le complexe des sciences du campus MIL de son alma mater, soit l’Université de Montréal. Professionnelle engagée au parcours admirable, reçue fellow de l’Institut royal d’architecture du Canada, en 2000, elle s’implique activement au sein de sa communauté de pratique, notamment auprès de la relève. Elle assume la présidence de la Société de musique contemporaine du Québec, depuis 2014, et soutient de manière assidue des organismes culturels et communautaires et des établissements universitaires. Anik Shooner croit fondamentalement au rôle que peuvent et doivent jouer l’architecture et les gens qui l’exercent dans la mise en œuvre d’une société meilleure.
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