(Applaudissements)
Vous avez été tour à tour médecin, professeur, éducateur et administrateur, et tout ce que vous avez touché en est ressorti amélioré ou perfectionné, pour le plus grand bénéfice de la société québécoise. Avant nous, vos pairs ont salué l’importance de votre apport à la pratique de la médecine familiale. Et je suis persuadé que plusieurs de nos concitoyennes et concitoyens auraient certainement joint leur voix à la leur pour vous témoigner leur reconnaissance et leur respect. Je me ferai donc leur porte-parole, d’autant plus que nous avons été collègues, à une certaine époque de notre vie. Et j’en suis particulièrement heureux, de vous voir, aujourd’hui, dans cette situation que nul d’entre nous aurait pu prévoir, il y a quelques années.
M. Grand’Maison : Non, non, certainement pas, quand on était sur les bancs du conseil de la Faculté.
M. Couillard : Paul Grand’Maison, au nom du peuple québécois, je vous fais chevalier de l’Ordre national du Québec.
(Applaudissements)
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