Celui à qui l’on doit, entre autres, les films cultes La guerre des tuques, Comme les six doigts de la main et Bach et Bottine, André Melançon, vient de rendre son dernier souffle. Cet homme proche des jeunes et très engagé socialement faisait adroitement place à des enjeux de société à travers son art, le tout en sachant toujours capter l’intérêt de son public, grâce à des intrigues palpitantes. Le talent et la sensibilité de M. Melançon auront été appréciés avant tout à travers ses films, mais aussi ses documentaires, une série télévisée et même son passage à la Ligue nationale d’improvisation.
M. Melançon avait été reçu officier de l’Ordre national du Québec en 2013. Il aura marqué l’imaginaire de plus d’une génération, en plus d’avoir laissé une empreinte indélébile à la culture et au cinéma québécois.
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