Tout au long de sa brillante carrière au sein de la diplomatie canadienne, Guy Saint-Jacques a su promouvoir les intérêts du Canada et du Québec. Il s’est intéressé très tôt aux enjeux climatiques, devenant un spécialiste reconnu sur ces questions, entre autres lors de la première grande conférence internationale sur les enjeux climatiques à Toronto, en 1987. Sa nomination comme négociateur en chef et ambassadeur aux changements climatiques en 2010 est venue confirmer l’excellence de son engagement sur ces enjeux et a contribué à faire évoluer positivement les négociations sur le sujet. M. Saint-Jacques a fait avancer les intérêts du Canada dans plusieurs domaines, tout en contribuant au rayonnement du Québec sur la scène internationale. Par ailleurs, il a été appelé à servir comme chef de mission adjoint dans trois des plus grandes représentations canadiennes : Londres, Beijing et Washington. Sa nomination comme ambassadeur du Canada en Chine, en 2012, a confirmé sa grande expertise sur ce pays et lui a permis de jouer un rôle remarquable dans les relations canado-chinoises. Tôt dans sa carrière, alors qu’il travaillait au gouvernement du Québec, il a recommandé de transformer le Domaine Joly-De Lotbinière en centre d’interprétation accessible au public. Il a aussi recommandé l’annulation de concessions forestières dans Charlevoix, ce qui devait mener à la création du parc national des Hautes-Gorges-de-la-Rivière-Malbaie.
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